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Livres de Vampires

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14 janvier 2012

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14 janvier 2012

Bunnicula, Vampire Rabbit Plush Doll

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Bunnicula, Vampire Rabbit Plush Doll

lapin en peluche qui se nomme bunnicula tiré d'un livre pour enfant du même nom écrit par Deborah et James Howe

14 janvier 2012

body bébé blood sucker

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14 janvier 2012

Bela Lugosi: King of the Vampires Statue

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Bela Lugosi: King of the Vampires Statue

13 janvier 2012

vampire midnight madness

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vampire midnight madness
MPC a produit ce modèle pour la série manoir hantée de Walt Disney en 1974

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13 janvier 2012

schtroumpf dracula

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schleich-20541-Figurine schtroumpf dracula Hauteur : 50 mm.
Figurine peinte à la main

13 janvier 2012

Stonehenge

Picnik collage

 

Stonehenge, dont le nom signifie « les pierres suspendues », est un monument mégalithique circulaire érigé au Néolithique et à l'Âge du Bronze. Il est situé à 13 km au nord de Salisbury (comté du Wiltshire, Angleterre). L'ensemble du site de Stonehenge, et le cromlech d'Avebury, situé à une trentaine de kilomètres au nord, sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

Bien que l'on sache aujourd'hui qu'ils n'en sont pas les bâtisseurs, les Celtes ont de tout temps voué un grand respect à Stonehenge. Le premier texte mentionnant le site avec exactitude se trouve dans l'Historia regnum Britanniae de Geoffroy de Monmouth (1136), un des auteurs du cycle arthurien. Stonehenge est, selon lui, une création du druide Merlin, qui, par magie, en a fait venir les pierres depuis l'Irlande. Il aurait ensuite utilisé les «forces vitales» de l'endroit pour faire apparaître le dragon, et c'est aussi là que tous les nobles d'Angleterre auraient prêté serment au roi Arthur. Les auteurs britanniques John Aubrey et William Stukeley, à la fin du XVIIe et au début du XVIIIe siècle, ont fortement contribué à entretenir l'image de Stonehenge comme temple druidique et haut lieu de la culture celte. Mais, si, à n'en pas douter, le site a été utilisé par les druides pour leurs cérémonies, les lourds mégalithes étaient là bien avant l'arrivée des Celtes sur le sol britannique, et les mystères de Stonehenge n'ont nul besoin de cet apport pour demeurer passionnants.

Le monument a été construit en quatre phases, à partir de 2800 avant notre ère, avec des pierres d'origines différentes. Certaines proviennent d'Avenbury, à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest, d'autres des monts Prescelly dans le pays de Galles, à plus de 200 kilomètres de Stonehenge; et de Milford Haven, à 250 kilomètres ! Les «pierres bleues» (rhyolithes), incorporées à la construction au début de l'âge du bronze (IIe millénaire avant notre ère), viendraient d'Irlande. Chaque monolithe pèse plus de 50 tonnes et l'ensemble, plusieurs milliers de tonnes : comment des peuplades de la fin du néolithique, fortes de quelques centaines d'individus à peine, ont-elles pu acheminer de tels chargements avec des moyens primitifs ? Et pourquoi aller chercher si loin des blocs issus de roches différentes ?

Le site de Stonehenge a été élaboré selon un plan extrêmement précis. Un fossé circulaire de 4 m de large sur 1,50 m de profondeur forme un premier anneau d'une centaine de mètres. À l'intérieur, sur le talus, un deuxième anneau est dessiné par 56 trous, connus sous le nom de «trous d'Aubrey», du nom d'un des premiers explorateurs du site (1650) Toujours concentriques, deux autres anneaux révèlent chacun 30 et 29 autres trous : ils contiennent des ossements humains brûlés. Vient ensuite la partie monumentale de l'ouvrage : les deux cercles de pierres levées couvertes de linteaux enserrant deux autres rangées disposées en fer à cheval. Cinq pierres levées sont isolées : deux, dans la zone de l'anneau des trous d'Aubrey («pierres de station», destinées à être changées de place), une à l'extérieur, dans l'allée conduisant au monument («pierre de talon», appelée ainsi à cause de sa forme), une pierre de sacrifice à l'entrée et un autel au centre.

Les nombreux restes humains retrouvés indiquent que le site a souvent, au cours des siècles, été utilisé comme lieu de sépulture. Tout montre cependant que telle n'était pas sa première vocation.

Après 1961, en effet, le plan du monument a été étudié par des savants tels que Gerald Hawkins, professeur d'astronomie à Cambridge, et Fred Hoyle, spécialiste d'astrophysique au Californian Institute of Technology. Leur thèse est que, pour un observateur placé au centre de la construction, les mégalithes s'ordonnent en des lignes de visée mettant en valeur des phénomènes astronomiques. Les cercles de trous correspondraient au système simple d'une machine à calculer gigantesque et primitive mais d'une précision étonnante. L'anneau des trous d'Aubrey se rapporterait au cycle des éclipses lunaires : Hawkins montre même qu'en déplaçant six pierres d'un trou chaque année on peut prévoir tous les événements lunaires sur de très longues périodes. Enfin, différents angles entre les pierres solitaires matérialiseraient les solstices et les équinoxes, les levers et les couchers de soleil et de lune.

Les raisonnements de Hawkins et Hoyle, incontestables sur le plan astronomique, sont cependant critiqués par les archéologues. La multiplicité des époques de construction leur semble contredire la théorie d'un observatoire bâti en connaissance de cause.

Mais pourquoi le même objectif n'aurait-il pas été poursuivi durant plusieurs siècles, par perfectionnement progressif du système ? D'autant que la symbolique du cercle (le Soleil) et celle du fer à cheval (le croissant de Lune) plaident en faveur des astronomes.

Il semble aujourd'hui qu'il n'y ait pas de contradiction entre les constatations des archéologues et des astronomes, et beaucoup s'accordent à reconnaître en tout cas que la précision des emplacements de mégalithes est trop grande pour être le fruit d'un seul hasard.

 



D'après Les Grandes Enignmes, eds. France Loisirs, 1994.

13 janvier 2012

Dame Blanche du Château de Puymartin

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Il était une fois au fin fond du Périgord le Château de Puymartin. Semblable par son architecture à celui de la Belle au Bois Dormant, son histoire relève plus de l'étrange que du conte de fée. Car, depuis le 16e siècle, la rumeur court : le château abriterait le fantôme de la Dame Blanche. Parez-vous de vos plus beaux déguisements et pénétrez dans l'antre de celle qui est au coeur de nombreux mythes.


Construit vers 1270, Le château Puymartin était autrefois entouré en contrebas du village du même nom. Il servit de frontière entre la France et l'Angleterre lorsque débuta la Guerre de 100 ans.

Ensuite pillé, privé de ses créneaux, remparts, tours et toitures, il fut repris en 1450 par Radulphe de Saint-Clar, reconstruit et agrandi. Il faudra ensuite attendre la fin des guerres au 17e siècle, pour que la demeure retrouve paix et sérénité.

Outre l'élégance de l'architecture générale, vous pourrez y admirer un magnifique escalier à vis, une chambre d'honneur ornée de tapisseries de la manufacture d'Aubusson, des poutres "à la française" ainsi qu'un mobilier transmis au fil des siècles. Depuis 1450, l'édifice est la propriété de la même famille.

Une exceptionnelle " chambre mythologique ", classée par les Monuments Historiques, présente également des " Grisailles " (peintures en noir et blanc sur blanc d'œuf) dont les scènes sont tirées de la mythologie Grecque. Toutes ces œuvres, dans un état de conservation quasi-parfait, ont été réalisées entre 1650 et 1671.



Mais le souvenir le plus fort de ce château vient sans nul doute de la petite pièce située dans la Tour Nord. Au 16e siècle une terrible tragédie s'y est déroulée : Thérèse de Saint-Clar, surprise par son époux de retour de guerre dans les bras de son amant, fut emprisonnée durant 15 ans.

A sa mort, elle fut emmurée dans cette pièce même. Depuis, nombreux sont ceux qui disent avoir vu une Dame Blanche parcourir les chemins de ronde de Puymartin pour finalement entrer dans cette chambre de souffrance.

13 janvier 2012

YS, LA MYSTÉRIEUSE CITÉE ENGLOUTIE

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L'intriguant citée de Ys, parfois appelée « Ker Ys » (« Ker Is » en breton), est une ville légendaire de Bretagne, qui est censée avoir été construite dans la baie de Douarnenez ou au large de celle-ci, puis engloutie par l'Océan.


Le roi Gradlon de Cornouaille possédait de nombreux navires qu'il utilisait pour faire la guerre aux lointains pays du Nord. Stratège hors pair, il gagnait la plupart des batailles et pillait les vaincus, cumulant ainsi de nombreuses richesses.
Mais un jour, ses marins fatigués de tous ces combats refusèrent d'assiéger un château. Le roi les laissa repartir en Cornouaille et il resta seul dans le Nord. Quand il fut seul il vit une femme rousse : Malgven, la reine du Nord, se tenait devant lui. Elle lui dit : « Je te connais, tu es courageux et adroit au combat. Mon mari est vieux, son épée est rouillée Toi et moi allons le tuer. Ensuite, tu m'emmèneras dans ton pays de Cornouaille. » Ils tuèrent le roi du Nord et enfourchèrent Morvarc'h (« cheval de mer » en breton), le cheval magique de Malgven. Il était noir, crachait du feu par ses naseaux et était capable de galoper sur la mer  Ils rattrapèrent les navires de Gradlon.
Gradlon et Malgven restèrent longtemps en mer, si bien que Malgven donna naissance à une fille, Dahut, mais la reine en mourut. Selon une variante, elle ne mourut pas mais dut quitter les autres occupants du bateau quelque temps après la naissance de Dahut parce que l'heure était venue pour elle de retourner dans son monde.
Dahut était passionnée par la mer et demanda à son père de lui bâtir une cité marine. Ainsi fut fait et la ville d'Ys fut construite sur le fond de la baie de Douarnenez  Une très haute digue empêchait l'eau d'y pénétrer et seule une porte de bronze, dont la clef était en permanence avec Gradlon, permettait d'entrer ou de sortir de la ville. Ys était la plus belle et la plus impressionnante ville du monde  , mais devint rapidement, malgré les sermons de Saint Guénolé, la ville du péché sous l'influence de Dahut (aussi appelée Ahès). Celle-ci organisait des orgies et avait l'habitude de faire tuer ses amants une fois le matin venu, si bien que Dieu décida de la punir.
Un jour, un chevalier vêtu de rouge vint à Ys. Dahut lui demanda de venir auprès d'elle et un soir, il accepta. Une tempête éclata en pleine nuit, on entendait les vagues frapper avec violence la porte de bronze et les murailles. Dahut dit au chevalier : « Que la tempête rugisse, les portes de la ville sont solides et c'est le Roi Gradlon, mon père, qui en possède l'unique clef, attachée à son cou », à quoi il répondit : « Ton père le roi dort, tu peux maintenant t'emparer facilement de cette clef. » Dahut vola la clef à son père et la donna au chevalier, qui n'était autre que Satan. Le diable ouvrit la porte de la ville. — Une autre version prétend que ce fut Dahut elle-même qui les ouvrit. — Une vague aussi haute qu'une montagne s'abattit sur Ys. Le roi Gradlon et sa fille montèrent sur Morvarc'h, le cheval magique. Saint Guénolé vint près d'eux et dit à Gradlon : « Repousse le démon assis derrière toi ! » Gradlon refusa d'abord, mais il finit par accepter et poussa sa fille dans la mer. L'eau recouvrit Dahut qui devint une sirène. (la légende précise que cette sirène avait une apparence parfaitement humaine et, donc, n'avait pas l'apparence chimérique que l'on attribue aujourd'hui aux sirènes)
Gradlon se réfugia à Quimper, qui fut sa nouvelle capitale. Une statue équestre de Gradlon fut faite et elle est toujours aujourd'hui entre les flèches de la cathédrale Saint Corentin à Quimper. On dit que les cloches des églises d'Ys peuvent encore être entendues en mer par temps calme. Une légende dit que quand Paris sera engloutie, resurgira la ville d'Ys : Pa vo beuzet Paris, Ec'h adsavo Ker Is (Par Is signifiant en breton « pareille à Ys »).

Interprétation
On retrouve des récits semblables dans trois grands rameaux de la civilisation celte (les bretons, les gallois et les irlandais). Les légendes se fondant généralement sur une histoire vraie (comme la guerre de Troie par exemple), il est probable qu'une telle catastrophe ait eu lieu lorsque les Bretons, Gallois et Irlandais ne formaient qu'un seul et même peuple.
Une information intéressante est que, d'après Grégoire de Tours, le roi Childebert Ier portait lui aussi une clef d'or autour du cou


La place d'Ys dans la tradition
Depuis son engloutissement par la mer, la ville d'Ys occupe un rôle central dans les légendes bretonnes. On dit qu'Ys renaîtra le jour où une messe y sera célébrée. D'autres légendes mettent en scène la ville engloutie, telle celle où Sainte-Marie du Ménez-Bré ouvre tous les cent ans les flots pour contempler la ville. On notera également que, dans son livre la légende de la mort (receuil de récits et croyances sur la mort), Anatole Le Braz consacre un chapitre à la ville d'Ys.

Ys et Paris
Une légende dit aussi que les francs, cherchant un nouveau nom pour leur capitale, l'appelèrent Par-Is (Pareille à Ys) parce que ces deux villes, à l'époque, se disputaient le titre de ville d'isis mais que jamais elle n'égala la ville d'Is au temps de sa splendeur.
Mais l'Histoire nous apprend que cette "légende" est probablement fausse car Paris doit son nom surtout à la tribu gauloise des Parisii, ces derniers ayant pour capitale Lutetia Parisorum, qu'on nomme actuellement "Lutèce", l'ancêtre de Paris. Cela dit, on notera également que, selon Voltaire, cette ville se serait appelée "Parisis" avant de devenir Paris en raison de la venue du culte d'Isis dans cette ville : ce qui va dans le sens de la légende.

13 janvier 2012

les crops circles / Agroglyphe

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Le terme agroglyphe est un néologisme synonyme de crop circle parfois traduit de l'anglais par cercle de culture ou cercle de récolte. Un agroglyphe est une zone, dans un champ de blé ou d'autres céréales similaires, où certains épis ont été recourbés ou couchés pour former diverses formes géométriques, certaines en trois dimensions et d'autres en deux. Ces formes vont du simple cercle de quelques mètres de diamètre à la composition de plusieurs centaines de mètres impliquant de nombreuses sections.
L'explication de la formation de ces figures est très controversée. L'explication la plus simple, celle défendue par le scepticisme scientifique, est une action humaine délibérée : les agroglyphes sont une production artistique humaine, similaire du point de vue de la démarche aux graffitis que l'on trouve sur les murs de nos cités. Dans ce contexte, la méthode de réalisation utilise un ou des plans sur papier et des moyens de report sur le terrain comme des cordes, pieux, décamètres ainsi que des planches ou rouleaux pour abaisser les tiges. Un très grand nombre d'agroglyphes ont été produits selon ces procédés, prouvant leur faisabilité. D'autres explications persistent à être avancées. Par exemple l'origine serait due aux ovnis ou à des « manifestions d'énergie »

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