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Livres de Vampires
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7 février 2012

Élisabeth Báthory

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Elle était noble, belle et cruelle. Bien que la vie d'Elisabeth Bathory ait été limitée par les dates 1560 et 1614, son ombre hante encore aujourd'hui les ruines du château de Cachtice en Slovaquie. Selon la légende, c'est dans les caves de cette demeure que cette dame de grande famille se livrait à des orgies sanglantes, assassinait des jeunes filles et se baignait dans leur sang croyant que le sang des innocentes lui conserverait la beauté et la vie. Aujourd'hui, il est difficile de démêler la légende de la réalité. Les archives historiques témoignent, qu'à la fin, Elisabeth Bathory a été inculpée d'innombrables atrocités commises dans son château. Ses complices ont été exécutés tandis qu'elle-même, ayant échappé à la peine capitale en raison de sa naissance, a été murée dans ses appartements du château. C'est là qu'elle a attendu la mort pendant 3 ans 1/2, dans une obscurité et une réclusion totale.

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7 février 2012

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En Transylvanie vivent des humains et des vampires. Il se trouve que les humains disent toujours la vérité et les vampires mentent toujours. Le problème est que certaines personnes, dans les deux groupes, sont saines d'esprit (et ont toujours raison) et d'autres sont folles (et croient vrai ce qui est faux et réciproquement). Ainsi, un humain fou dira que la Terre est plate (il croit que c'est vrai) comme le ferait un vampire sain d'esprit (qui sait que c'est faux mais ment) tandis qu'un humain sain d'esprit dira qu'elle est ronde comme le dirait un vampire fou (car il croit que c'est faux et, voulant mentir, il dit la vérité !).
La police eut un jour affaire à deux frères dont l'un était vampire et l'autre humain, mais il fallait déterminer qui était qui. Alors que Karl déclara « Je suis un vampire », Hans affirma « Je suis humain », Karl rajoutant alors « Concernant notre santé mentale, mon frère et moi en sommes au même point ». Qui était le vampire ?



indice :
Il y a a priori 4 possibilités pour chacun : être un humain sain, un humain fou, un vampire sain ou un vampire fou. Vous pouvez donc examiner chaque cas. Mais en fait, il est possible de réduire le nombre de possibilités en les regroupant 2 à 2 (humain sain et vampire fou - humain fou et vampire sain) : chacun peut dire la vérité ou mentir (deux choix seulement).



solution : Karl et Hans peuvent chacun mentir ou dire la vérité. Supposons que Karl dise la vérité. Alors les deux ont la même santé mentale : ils sont tous les deux sains ou tous les deux fous. Dès lors comme l'un est humain et l'autre vampire, il y en a un qui ment et un qui dit la vérité. D'où comme Karl dit la vérité : Karl dit la vérité et Hans ment. Mais alors en examinant leurs déclarations, ils sont tous les deux vampires, ce qui est impossible. On a donc fait une mauvaise hypothèse : c'est donc que Karl ment.
Alors en inversant sa déclaration Karl est humain. Finalement, le vampire est hans (plus précisément, Karl est un humain fou et Hans est un vampire sain d'esprit).

5 février 2012

John William Polidori

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John William Polidori (7 septembre 1795-24 août 1821), fils de Gaetano Polidori, était un écrivain italo-anglais. On lui attribue la paternité du vampirisme dans la littérature suite à sa nouvelle Le Vampire(The Vampyre), parue en 1819.


Le premier vampire classique est inventé en 1819 par John Polidori, médecin personnel de Lord Byron. Lors du fameux séjour suisse pendant lequel Mary Shelley accouchera de son « Frankenstein », il rédige « Le Vampire », qui met en scène le cruel et raffiné Lord Ruthven, portrait à peine dissimulé de son employeur, Byron. C’est le premier vampire pensant et charismatique, grand pervers sexuel qui aime plonger ses innocentes victimes dans la débauche. L’immense succès du livre échappera à son auteur, car « Le Vampire » sera longtemps injustement attribué à Byron lui-même.

4 février 2012

LA PRINCESSE VAMPIRE

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Pour la première fois, des chercheurs apportent la preuve que les histoires de vampires répandues en Europe dans la première moitié du XVIIIe siècle avaient des fondements réels. Enquête sur une possible ancêtre de Dracula.
Dans la petite ville médiévale de Krumau, en Bohême, une équipe constituée d'archéologues, d'historiens et de médecins légistes a mis au jour trois cadavres enterrés selon un axe sud-ouest, et non est-ouest, comme il est d'usage dans l'aire d'influence chrétienne. Les membres des trois squelettes sont alourdis par des pierres, la tête de l'un d'eux est séparée du tronc et repose entre les jambes, une pierre dans la bouche, les mains sont liées par un rosaire. Cette disposition correspond à certaines règles mentionnées dans Magia posthuma, un traité sur les vampires publié peu après 1700.



Pour les scientifiques, c'est le départ d'une passionnante enquête historico-policière, qui les mène jusqu'aux archives du château. Rainer Köppl, spécialiste de l'histoire des médias et des vampires, y découvre l'existence d'une mystérieuse figure féminine, Eleonore von Schwarzenberg. Aurait-elle un rapport avec le personnage de vampire féminin que Bram Stoker avait placé dans le premier chapitre de son Dracula, avant de supprimer ces premières pages au moment de la parution du livre à Londres en 1897 ?



Les archives de Krumau, en tout cas, font état de faits bien inquiétants, de maladies mystérieuses, de curieuses expériences médicales et d'une mort singulière dans les plus hautes sphères de la noblesse de Bohême.




(France, Autriche, 2007, 52mn)
ARTE
Réalisateur: ANDREAS SULZER, KLAUS STEINDL
Auteur: ANDREAS SULZER, KLAUS STEINDL

4 février 2012

la phrase du jour

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les crocs, c’est pour la bestialité, j’accepte mon coté sombre et l'affiche au grand jour, mais pas trop, parce que le soleil… je n’aime pas ça...

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4 février 2012

Mercy Lena Brown (1873 - 1892)

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Mercy Brown est une Américaine connue pour avoir vu son corps être exhumé en 1892 dans le but de procéder à un rite destiné à bannir les manifestations d'une morte-vivante. Depuis, son nom fait partie du folklore américain

Le cas de Mercy Brown , qui a eu lieu en 1892, est l'un des cas les mieux documentés de l'exhumation d'un cadavre dans le but d'accomplir des rituels et de bannir une manifestation de morts-vivants.

À Exeter, Rhode Island, la famille de George et Mary Brown a subi une série d'infections par la tuberculose au cours des deux dernières décennies du XIXe siècle. La tuberculose a été appelé la «consommation» à l'époque et était une maladie dévastatrice et redoutée. Les malades crachaient du sang avaient la poitrine opprimé, leur peau devenaient pâle et s'amaigrissaient

La mère, Mary, a été la premiere à mourir de la maladie, suivie en 1888 par leur fille aînée, Mary Olive. Deux ans plus tard, en 1890, leur fils, Edwin, est également devenu malade.

En 1891, une des autres filles, Mercy, a contracté la maladie et mourut en Janvier 1892. Elle fut enterrée dans le cimetière de l'église baptiste à Exeter.

Amis et voisins de la famille étaient convaincus que l'un des membres de la famille décédé était un vampire (même si ils n'ont pas utilisé ce terme) et causait la maladie d'Edwin. Ceci était en conformité avec le folklore contemporain faisant le rapprochement entre les décès multiples dans une famille à une activité de morts-vivants. La tuberculose a été une affection mal comprise à l'époque.

George Brown a été persuadé d'exhumer les corps, ce qu'il fit avec l'aide de plusieurs villageois, le 17 Mars 1892. Tandis que les corps des deux Marie, et Marie Olive avait subi une décomposition importante au cours des années qui suivirent, le corps le plus récemment enterré celui de Mercy était encore relativement inchangée et avait du sang dans le cœur. Cela a été pris comme un signe que l'adolescente était morte-vivante et responsable de l'état du jeune Edwin.

le coeur de Mercy a été retiré de son corps puis brûlé, et les restes furent mélangés avec de l'eau et remis à l'Edwin toujours malade pour qu il le boive.

Malheureusement, malgré tous ses efforts, le fils Edwin est mort deux mois plus tard.

3 février 2012

la symbolique de la chauve souris

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Les chauves souris sont des symboles de renaissance - le revêtement des craintes Par ceci nous apprenons à libérer la crainte et quelque chose qui n'équipent pas de notre nouvelle croissance. Les chauves souris ont malheureusement développé beaucoup de symbolisme négatif.

Les Chinois étaient l'une des quelques exceptions, la chauve souris symbolise pour eux bonne chance et grand bonheur. Ils ont également maintenu que la chauve souris stagne la tête en bas en raison du poids de son cerveaux. Dans le Babylonia, les chauves souris étaient des symboles des morts. Mayans les a vues comme symboles de déclenchement et de renaissance mais également vu en tant que dragons miniatures.

Puisqu'il était comme par magie puissant lui-même, la chauve souris a souvent servi comme charme ou amulette protecteur contre les puissances du mal. Parmi les toiles de jute en Allemagne c'était une croyance admise que le coeur d'une chuve souris attachée au bras d'un joueur par un fil rouge lui garanti le succès aux cartes - un terrain communal de croyance également sur les Etats-Unis méridionaux. Au Tyrol autrichien le propriétaire de l'oeil d'une chauve souris pourrait devenir invisible.

La chauve-souris est devenue non seulement l'animal de totem des hommes d'une tribu indigène en Nouvelle-Galles du Sud mais également leur symbole de sexe. Une association semblable d' idées a mené les filles de l'Europe centrale amoureuses à attirer leurs amoureux réticents dans leurs bras par l'addition discrète de quelques gouttes du sang des de chauve souris au verre de leur bien aimé.

Des chauves souris ont été de temps en temps honorées du statut des dieux, la déité suprême de certains des Indiens de la Côte Pacifique américaine étant Chamalkan la chauve souris. Les dieux puissants de chauve souris du Samoa ont invariablement pris la tête toutes les fois que les tribus ont marché au loin à la guerre. Dans les légendes d'un certain nombre de tribus indiennes nord-américaines la chauve souris est donnée dans le rôle inattendu du héros et du champion chevaleresque de l'humanité dans la détresse.

Un livre appelé Popol Vuh a été découvert en XVIIème siècle. Dans l'IS-IS un conte de deux frères qui étaient examinés. Un essai les a portés à un labyrinthe dechauves souris énormes surveillées par Camazotz, le dieu des chauves souris. Il a eu le corps d'un humain, de la tête et des ailes d'une chauve souris, et a porté une grande épée par laquelle il décapiterait les vagabonds négligés. C'est une histoire symbolique, avec le langage figuré qui reflète la transition. Il implique une perte de corps enseignant si quelqu'un est des négligés des changements de la transition. Il tient également la promesse de la renaissance et la sortie de l'obscure.

La chauve souris est un symbole du défi à laisser aller et créer le nouveau - la mort et renaissance.

Une vieille croyance européenne était que les âmes humaines prennent la forme d'une chauve souris quand elles laissent le corps pendant le sommeil. Ceci a mené à la croyance que les morts païens pourraient devenir des chauves-souris, recherchant les moyens de la renaissance ou le sang de la vie (naturellement, étant un lien au langage figuré de vampire). Le dessin-modèle chrétien européen a donné à des démons les ailes de chauve souris, un écho de premier langage figuré. Un fresque 1350 dans Campo Santo à Pise a montré la déesse de la mort en tant que femme aux cheveux longs avec un vol de faux au-dessus du monde sur des ailes de chauve souris. La description d' elle était « vieille ombre de la terre, nuance antique d'enfer ».

Les chauves souris comme totems représentent une capacité de discerner les messages et les implications cachés des mots d'autres personnes. Écouter autant ce qui n'est pas dit. Faire confiance à vos instincts. Le nez est l'organe de la discrimination, et avec son sonar situé dans son nez, la chauve souris reflète la capacité de distinguer et discerner la vérité dans les mots d'autres personnes.

3 février 2012

LE VAMPIRE DE L'ABBAYE DE MELROSE

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Historien et chroniqueur, l'anglais William of Newburgh (1136 - 1208?) nous fait ici le réçit d'une "chasse au vampire" se déroulant dans les environs de l'abbaye de Melrose (Angleterre). Il s'agit d'un extrait de l'Historia Regis Anglicarum (1196)

"Il y a quelques années mourut l'aumônier d'une certaine dame de haut rang, et il fut inhumé dans ce majestueux monastère qu'est l'abbaye de Melrose. Malheureusement ce prêtre ne respectait guère les voeux sacrés de son saint ordre et il passait ses jours presque à la façon d'un laïc... Et ce qui se passa après sa mort montre de façon tout à fait évidente qu'il était généralement tenu en piètre estime et que sa culpabilité était très condamnable et même détestable. Pendant plusieurs nuits, il sortit de sa tombe et tenta de pénétrer par effraction dans le cloître, mais il échoua et ne put molester ni alarmer qui que ce soit si grands étaient les mérites et la sainteté des bons moines qui habitaient là. Après quoi, il décida d'aller plus loin et il apparut soudain dans la chambre à coucher, au chevet même de la dame dont il avait été l'aumônier, poussant des cris extrêmement perçants et des gémissements à fendre l'âme. Cela s'étant reproduit plus d'une fois, elle fut presque folle de frayeur, redoutant qu'un terrible danger pût lui arriver, et convoquant un frère supérieur du monastère, elle le supplia les larmes aux yeux de faire dire spécialement des prières pour elle puisqu'elle était tourmentée de la façon la plus extraordinaire et la plus inhabituelle. Quand il entendit son récit, le moine calma son anxiété... et promit de trouver sous peu un remède. Rentré au monastère, il divulga son plan à un vieux moine avisé et ils décidèrent, en compagnie de deux jeunes gens robustes et courageux, de monter la garde dans la partie du cimetière où était enterré le malheureux prêtre... Minuit avait déjà sonné et il n'y avait pas trace du monstre. Trois des compagnons se retirèrent donc un moment pour se réchauffer près du feu dans un bâtiment non loin de là... mais le moine qui leur avait demandé de se joindre à lui décida de continuer à monter la garde. Tandis qu'il restait seul sur les lieux, le Diable, pensant trouver une belle occasion de miner le courage et la ténacité de cet homme pieux, fit lever de sa tombe celui qui lui servait d'instrument... Quand le moine vit le monstre tout près de lui, il fut saisi d'horreur, mais il retrouva aussitôt son courage... Au moment où le monstre se ruait sur lui en poussant un affreux hurlement, il resta sur place et lui asséna un terrible coup de hache. Quand le mort reçut cette blessure, il poussa un terrible gémissement et, faisant volte-face, il s'enfuit aussi vite qu'il était apparu. Mais le courageux moine le poursuivit et le contraignit à se réfugier dans sa tombe. Celle-ci sembla s'ouvrir aussitôt d'elle-même pour le laisser entrer et elle se referma rapidement sur lui...

Quand ils (les trois autres moines) entendirent toute l'histoire, ils décidèrent dès l'aube de déterrer ce maudit cadavre... Quand ils eurent enlevé la terre et mis au jour le cadavre, il le trouvèrent marqué d'une terrible blessure, tandis que le sang noir qui s'en était écoulé avait apparemment inondé toute la tombe. La charogne fut transportée à un endroit éloigné du monastère, où elle fut brûlée sur un grand bûcher et les cendres en furent éparpillées aux quatre vents."



William of Newburgh
Historia Regis Anglicarum,
chap. XXIV (1196)

3 février 2012

Le syndrôme de Renfield

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Le vampirisme clinique est un comportement observé de manière rare et qui consiste en l'ingestion de sang humain, le sien propre (auto-vampirisme) ou celui d'autrui. Ce comportement est généralement le symptôme d'une affection psychiatrique.

Le Syndrome de Renfield (Noll, 1992)

En 1992, le psychologue et auteur américain Richard Noll, proposa dans un livre de renommer ce syndrome de fétichisme sanguin et sexuel en syndrome de Renfield en l'honneur du personnage présent dans le "Dracula" de Bram Stoker qui présentait les mêmes signes et symptômes classiques de ce désordre. Dans le roman, Renfield consomme effectivement des animaux vivants, dans l'espoir de se remplir de leur énergie vitale. D'après Noll, la grande majorité des patients sont des hommes, et la maladie évolue en quatre stades :


1. Le premier stade survient généralement durant l'enfance. À la suite d'un incident mineur avec blessure(s), l'enfant découvre qu'il peut être excitant de boire du sang, le sien.

2. Cela peut mener au second stade qui est l'auto-vampirisme. C'est le plaisir qu'éprouve un individu à boire son propre sang.

3. Il y a aussi le troisième stade qu'on appelle la zoophagie. Il s'agit de la consommation d'animaux, non-humain, pour boire leur sang. Les vampires zoophagiques recherchent particulièrement les animaux de compagnie tel le chat et le chien.

4. Le stade le plus avancé est le vampirisme clinique où l'on boit le sang d'autres humains. Certaines personnes qui ont atteint ce stade s'infiltre dans les hôpitaux pour voler le sang entreposé dans les banques de sang. Ce phénomène pourrait être impliqué chez plusieurs meurtriers en série.

3 février 2012

Le vampire du monastère d’Opatovice

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En 1337 en république tcheque

En Bohème, dans le monastère d’Opatovice, un berger mort terrifie les villageois en les maudissant. Après exhumation de son corps, on lui plante un pieu dans le cœur et il se met à éclater de rire, en disant ” merci, il me servira à éloigner vos chiens” !
Les villageois effrayés, font alors venir des bourreaux qui attache le vampire sur une charrette de foin, et lui plante un second pieu dans le corps. Le berger se met à hurler de douleur , alors les bourreaux mettent le feu à la charrette et tue ainsi le vampire.

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