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Livres de Vampires

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4 février 2012

morbida exclusive (begoth)

wover81p

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4 février 2012

illustration de Jasmine Becket-Griffith

Faces of Faery

Faces of Faery

Picnik collage

I Vampiri


redwingedfairyx

 

4 février 2012

illustration d'anne claire payet

Anne-Claire Payet découvre très tôt sa passion pour le dessin. C'est naturellement qu'elle se tourne vers un univers féerique et fantastique : Un monde invisible qu'elle s'efforce de matérialiser. Son univers, bien que teinté de noir, est aussi emprunt de romantisme et de délicatesse.

http://eireen.deviantart.com/.

la première m'évoque quand je la regarde Mékare et Maharet les deux jumelles rousses des romans d'Anne Rice
la seconde me fait penser à la niche qui se trouve à coté de phantom manor chez disney
la troisième est la couverture du livre De Notre Sang de Adeline Debreuve-Theresette






3 février 2012

la symbolique de la chauve souris

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Les chauves souris sont des symboles de renaissance - le revêtement des craintes Par ceci nous apprenons à libérer la crainte et quelque chose qui n'équipent pas de notre nouvelle croissance. Les chauves souris ont malheureusement développé beaucoup de symbolisme négatif.

Les Chinois étaient l'une des quelques exceptions, la chauve souris symbolise pour eux bonne chance et grand bonheur. Ils ont également maintenu que la chauve souris stagne la tête en bas en raison du poids de son cerveaux. Dans le Babylonia, les chauves souris étaient des symboles des morts. Mayans les a vues comme symboles de déclenchement et de renaissance mais également vu en tant que dragons miniatures.

Puisqu'il était comme par magie puissant lui-même, la chauve souris a souvent servi comme charme ou amulette protecteur contre les puissances du mal. Parmi les toiles de jute en Allemagne c'était une croyance admise que le coeur d'une chuve souris attachée au bras d'un joueur par un fil rouge lui garanti le succès aux cartes - un terrain communal de croyance également sur les Etats-Unis méridionaux. Au Tyrol autrichien le propriétaire de l'oeil d'une chauve souris pourrait devenir invisible.

La chauve-souris est devenue non seulement l'animal de totem des hommes d'une tribu indigène en Nouvelle-Galles du Sud mais également leur symbole de sexe. Une association semblable d' idées a mené les filles de l'Europe centrale amoureuses à attirer leurs amoureux réticents dans leurs bras par l'addition discrète de quelques gouttes du sang des de chauve souris au verre de leur bien aimé.

Des chauves souris ont été de temps en temps honorées du statut des dieux, la déité suprême de certains des Indiens de la Côte Pacifique américaine étant Chamalkan la chauve souris. Les dieux puissants de chauve souris du Samoa ont invariablement pris la tête toutes les fois que les tribus ont marché au loin à la guerre. Dans les légendes d'un certain nombre de tribus indiennes nord-américaines la chauve souris est donnée dans le rôle inattendu du héros et du champion chevaleresque de l'humanité dans la détresse.

Un livre appelé Popol Vuh a été découvert en XVIIème siècle. Dans l'IS-IS un conte de deux frères qui étaient examinés. Un essai les a portés à un labyrinthe dechauves souris énormes surveillées par Camazotz, le dieu des chauves souris. Il a eu le corps d'un humain, de la tête et des ailes d'une chauve souris, et a porté une grande épée par laquelle il décapiterait les vagabonds négligés. C'est une histoire symbolique, avec le langage figuré qui reflète la transition. Il implique une perte de corps enseignant si quelqu'un est des négligés des changements de la transition. Il tient également la promesse de la renaissance et la sortie de l'obscure.

La chauve souris est un symbole du défi à laisser aller et créer le nouveau - la mort et renaissance.

Une vieille croyance européenne était que les âmes humaines prennent la forme d'une chauve souris quand elles laissent le corps pendant le sommeil. Ceci a mené à la croyance que les morts païens pourraient devenir des chauves-souris, recherchant les moyens de la renaissance ou le sang de la vie (naturellement, étant un lien au langage figuré de vampire). Le dessin-modèle chrétien européen a donné à des démons les ailes de chauve souris, un écho de premier langage figuré. Un fresque 1350 dans Campo Santo à Pise a montré la déesse de la mort en tant que femme aux cheveux longs avec un vol de faux au-dessus du monde sur des ailes de chauve souris. La description d' elle était « vieille ombre de la terre, nuance antique d'enfer ».

Les chauves souris comme totems représentent une capacité de discerner les messages et les implications cachés des mots d'autres personnes. Écouter autant ce qui n'est pas dit. Faire confiance à vos instincts. Le nez est l'organe de la discrimination, et avec son sonar situé dans son nez, la chauve souris reflète la capacité de distinguer et discerner la vérité dans les mots d'autres personnes.

3 février 2012

LE VAMPIRE DE L'ABBAYE DE MELROSE

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Historien et chroniqueur, l'anglais William of Newburgh (1136 - 1208?) nous fait ici le réçit d'une "chasse au vampire" se déroulant dans les environs de l'abbaye de Melrose (Angleterre). Il s'agit d'un extrait de l'Historia Regis Anglicarum (1196)

"Il y a quelques années mourut l'aumônier d'une certaine dame de haut rang, et il fut inhumé dans ce majestueux monastère qu'est l'abbaye de Melrose. Malheureusement ce prêtre ne respectait guère les voeux sacrés de son saint ordre et il passait ses jours presque à la façon d'un laïc... Et ce qui se passa après sa mort montre de façon tout à fait évidente qu'il était généralement tenu en piètre estime et que sa culpabilité était très condamnable et même détestable. Pendant plusieurs nuits, il sortit de sa tombe et tenta de pénétrer par effraction dans le cloître, mais il échoua et ne put molester ni alarmer qui que ce soit si grands étaient les mérites et la sainteté des bons moines qui habitaient là. Après quoi, il décida d'aller plus loin et il apparut soudain dans la chambre à coucher, au chevet même de la dame dont il avait été l'aumônier, poussant des cris extrêmement perçants et des gémissements à fendre l'âme. Cela s'étant reproduit plus d'une fois, elle fut presque folle de frayeur, redoutant qu'un terrible danger pût lui arriver, et convoquant un frère supérieur du monastère, elle le supplia les larmes aux yeux de faire dire spécialement des prières pour elle puisqu'elle était tourmentée de la façon la plus extraordinaire et la plus inhabituelle. Quand il entendit son récit, le moine calma son anxiété... et promit de trouver sous peu un remède. Rentré au monastère, il divulga son plan à un vieux moine avisé et ils décidèrent, en compagnie de deux jeunes gens robustes et courageux, de monter la garde dans la partie du cimetière où était enterré le malheureux prêtre... Minuit avait déjà sonné et il n'y avait pas trace du monstre. Trois des compagnons se retirèrent donc un moment pour se réchauffer près du feu dans un bâtiment non loin de là... mais le moine qui leur avait demandé de se joindre à lui décida de continuer à monter la garde. Tandis qu'il restait seul sur les lieux, le Diable, pensant trouver une belle occasion de miner le courage et la ténacité de cet homme pieux, fit lever de sa tombe celui qui lui servait d'instrument... Quand le moine vit le monstre tout près de lui, il fut saisi d'horreur, mais il retrouva aussitôt son courage... Au moment où le monstre se ruait sur lui en poussant un affreux hurlement, il resta sur place et lui asséna un terrible coup de hache. Quand le mort reçut cette blessure, il poussa un terrible gémissement et, faisant volte-face, il s'enfuit aussi vite qu'il était apparu. Mais le courageux moine le poursuivit et le contraignit à se réfugier dans sa tombe. Celle-ci sembla s'ouvrir aussitôt d'elle-même pour le laisser entrer et elle se referma rapidement sur lui...

Quand ils (les trois autres moines) entendirent toute l'histoire, ils décidèrent dès l'aube de déterrer ce maudit cadavre... Quand ils eurent enlevé la terre et mis au jour le cadavre, il le trouvèrent marqué d'une terrible blessure, tandis que le sang noir qui s'en était écoulé avait apparemment inondé toute la tombe. La charogne fut transportée à un endroit éloigné du monastère, où elle fut brûlée sur un grand bûcher et les cendres en furent éparpillées aux quatre vents."



William of Newburgh
Historia Regis Anglicarum,
chap. XXIV (1196)

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3 février 2012

Le syndrôme de Renfield

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Le vampirisme clinique est un comportement observé de manière rare et qui consiste en l'ingestion de sang humain, le sien propre (auto-vampirisme) ou celui d'autrui. Ce comportement est généralement le symptôme d'une affection psychiatrique.

Le Syndrome de Renfield (Noll, 1992)

En 1992, le psychologue et auteur américain Richard Noll, proposa dans un livre de renommer ce syndrome de fétichisme sanguin et sexuel en syndrome de Renfield en l'honneur du personnage présent dans le "Dracula" de Bram Stoker qui présentait les mêmes signes et symptômes classiques de ce désordre. Dans le roman, Renfield consomme effectivement des animaux vivants, dans l'espoir de se remplir de leur énergie vitale. D'après Noll, la grande majorité des patients sont des hommes, et la maladie évolue en quatre stades :


1. Le premier stade survient généralement durant l'enfance. À la suite d'un incident mineur avec blessure(s), l'enfant découvre qu'il peut être excitant de boire du sang, le sien.

2. Cela peut mener au second stade qui est l'auto-vampirisme. C'est le plaisir qu'éprouve un individu à boire son propre sang.

3. Il y a aussi le troisième stade qu'on appelle la zoophagie. Il s'agit de la consommation d'animaux, non-humain, pour boire leur sang. Les vampires zoophagiques recherchent particulièrement les animaux de compagnie tel le chat et le chien.

4. Le stade le plus avancé est le vampirisme clinique où l'on boit le sang d'autres humains. Certaines personnes qui ont atteint ce stade s'infiltre dans les hôpitaux pour voler le sang entreposé dans les banques de sang. Ce phénomène pourrait être impliqué chez plusieurs meurtriers en série.

3 février 2012

Alucard

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Alucard, le héros vampire

Magnifique figurine crée par Organic et représentant Alucard, le héros vampire du Manga Hellsing! La scène représentée ici le montre debout au milieu d'une nuée de chauve souris, le manteau couleur ténèbre et sang! La figurine est d'assez petite taille, environ 11 cm, mais possède un niveau de détails et de précision remarquable

3 février 2012

le vampire hémophile / donjon de naheulbeuk

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figurine vampire hémophile echelle 28mm

3 février 2012

Le vampire du monastère d’Opatovice

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En 1337 en république tcheque

En Bohème, dans le monastère d’Opatovice, un berger mort terrifie les villageois en les maudissant. Après exhumation de son corps, on lui plante un pieu dans le cœur et il se met à éclater de rire, en disant ” merci, il me servira à éloigner vos chiens” !
Les villageois effrayés, font alors venir des bourreaux qui attache le vampire sur une charrette de foin, et lui plante un second pieu dans le corps. Le berger se met à hurler de douleur , alors les bourreaux mettent le feu à la charrette et tue ainsi le vampire.

3 février 2012

Le vampire des pays de l'Est

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Extrait de " Mythologies du Monde Entier " de Roy Willis, 1995

Le vampire est la plus connue de toutes les créatures mythiques familières aux Slaves et à leurs voisins. Le mot vient du slave méridional vampir, qui prend d'autres formes selon les langues (upir, upyr, upior, etc...).

Aux XIXè siècle, la croyance aux vampires était plus répandue parmi les Ukrainiens et les Biélorusses que chez leurs voisins de l'Est, les Russes, mais c'est parmi les Slaves de l'Ouest (notamment les Katchoubes, qui vivent à l'embouchure de la Vistule) et du Sud qu'elle avait la plus grande emprise. Dans les pays slaves du Sud, la notion de vampire était étroitement imbriquée avec celle de loup-garou, à tel point qu'aujourd'hui, vampire se dit vukodlak (poils de loup).
Cependant, contrairement aux loups-garous, les vampires après leur mort  : c'est le cas des loups-garous, magiciens, des sorcières, des pêcheurs et des impies (qui en Russie incluaient les hérétiques). Dans certains pays (la Bulgarie par exemple), on soupçonne les meurtriers, les voleurs, les prostituées et autres indésirables de se transformer en vampires. Même les croyants morts de mort  naturelle peuvent devenir des vampires, notamment lorsque les rites funéraires n'ont pas été respectés, ou lorsqu'ils sont morts prématurément (les suicidés par exemple). Les personnes conçues ou nées un jour saint, les enfants mort-nés et ceux qui ont à la naissance une excroissance osseuse au bas de la colonne vertébrale, ou des dents, sont désignés comme vampires.
Les vampires ne pourrissent pas dans leurs tombes, ils sont souvent enflés, et le cadavre peut remuer dans le cercueil (les Macédoniens croyaient que le corps se retournait).
A minuit, ils vont dans les maisons pour sucer le sang de ceux qui dorment ou avoir des relations sexuelles avec eux, il s'agit souvent de personnes de leur famille, qui ensuite dépérissent et meurent. Il leur arrive aussi de sucer la chair de leur propre poitrine, ou leurs vêtements mortuaires, ce qui, dans les deux cas, provoque la mort de leurs familiers.
On trouve aussi des vampires aux carrefours ou dans les cimetières, où ils guettent leurs victimes, parfois enveloppés d'un linceul. Il existe de nombreux moyens de combattre les vampires. Certains ont pour but de permettre au vampire de reposer en paix : on place dans la tombe de petites croix en bois de peuplier, ou encore des graines de lin ou de millet qu'ils s'occuperont à compter (c'est une croyance macédonienne et katchoube).
Parmi les mesures les plus radicales, les plus connue est l'aubépine taillée ou le pieu de tremble plantés dans le corps, ou un pieu ou un clou dans la tête. Autrement, le corps était décapité (Slaves de l'Ouest), démembré (Slaves de l'Ouest et du Sud), ou bien l'on mutilait les talons ou les chevilles pour l'empêcher de se lever (Croatie).

La croyance aux vampires existe encore dans les régions reculées et parmi les communautés katchoubes du Canada.

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